Par une approche multidisciplinaire en art action, en arts visuels et en arts médiatiques, Marie-Claude Gendron tente de dégager les schèmes d’une collectivité qui s’actualise constamment dans les sphères du public, du privé et de l’intime. Elle considère le potentiel de l’archive et de la ruine par des mises en action et en espace qu’elle présente parfois comme des «tableaux vivants ». De l’ordre de la commémoration brute, ses projets font la mise en exergue de l’inévitable transformation de l’existant. Elle s’intéresse aux multiples possibles du livre-objet et aux différentes formes de poésie en action.